Jusqu’à peu, l’humanité avait connu 3 grosses révolutions industrielles ; c’est-à-dire capables de renouveler et d’améliorer les techniques de production dans le monde industriel. La première avait été déclenchée par la création de la machine à vapeur, puis des chaînes de production et enfin celle de l’automatisation, en 1969. Aujourd’hui, le monde entre dans la 4ème révolution industrielle. Explications.

L’industrie 4.0 : définition

Face à la stagnation des techniques de production, les spécialistes se sont interrogés : n’y avait-il pas moyen de rassembler des technologies qui ont bouleversé le quotidien de tout à chacun, pour les faire travailler ensemble ?
Après tout, Internet a changé de façon irrémédiable la façon que nous avons de communiquer, mais aussi nos habitudes de consommation. La microélectronique ; permet de construire des appareils avec des processeurs toujours plus petits, mais encore plus performants. Enfin, il ne fallait pas oublier les capacités de production facilitées par l’impression 3D, notamment pour le prototypage rapide. Ces trois éléments ne peuvent-ils pas être mis ensemble ?
C’est la combinaison de toutes ces techniques, couplées à l’interactivité avec l’être humain que l’on appelle l’industrie 4.0.
Pourtant, même si le terme fascine et si les avancées sont majeures, on peut toujours compter sur les machines de Feysama pour des clients qui veulent des réponses aujourd’hui.
Car, comme nous allons le voir, si l’industrie 4.0 est une véritable avancée, tous les paramètres ne permettent pas de la mettre en place, partout.

Quels sont les avantages de l’industrie 4.0 ?

L’industrie 4.0 permettra l’interaction entre les humains, les outils et les produits, grâce à un langage commun. Il faut comprendre que l’homme n’est pas exclu du processus, il y trouve pleinement sa place, même s’il devra suivre des formations spécifiques. L’industrie 4.0 va donc, à terme, permettre l’apprentissage et des emplois, dans le domaine industriel.
Contrairement aux moyens de production classiques ; cause, souvent de pénibilité au travail, l’industrie 4.0 veut rendre le temps de travail plus agréable, pour l’être humain, avec des solutions d’ergonomie.
Les équipements peuvent fonctionner à distance, contrôlés par des hommes. Pour estimer la performance, il sera possible de se baser sur l’internet des objets. Un excellent moyen d’avoir des indications précises du taux de productivité, sur une période donnée.
Pour les clients qui font appel aux industries fonctionnant en 4.0 ; c’est l’assurance d’une flexibilité accrue, car en possibilité de personnaliser l’offre ; ce qu’elle n’est pas toujours en mesure de faire actuellement.

Ecologiquement, l’industrie 4.0 vise à réduire au maximum les pertes de matières premières et utilise les énergies renouvelables pour fonctionner. Là encore, cela a un impact positif pour le client, car les coûts de production deviennent moins importants ; ce qui permet de faire baisser la facture qui lui sera remise.
Même si ce système semble idyllique, il comporte néanmoins quelques zones d’ombre. Comment gérer toutes les données, sans créer une brèche dans la sécurité informatique et d’ailleurs, comment stocker, toutes ces données ; qui risquent d’être pharaoniques ?

C’est parce que toutes ces questions méritent des solutions pérennes que l’industrie 4.0 est seulement en émergence.